Voir 1e partie du Film
HandyArt vise à proposer aux personnes travaillant avec des jeunes en situation de handicap, d'échanger leurs pratiques d'aide à l'insertion de ces jeunes. Chaque partenaire pourra lors de ce séminaire d'une semaine démontrer son expérience par des mises en situation (ateliers) et évaluer concrètement l'apport d'une coopération européenne à l'amélioration de la situation des jeunes au niveau local (prise en charge des jeunes par les structures).
HandyArt vise à proposer aux personnes travaillant avec des jeunes en situation de handicap, d'échanger leurs pratiques d'aide à l'insertion de ces jeunes. Chaque partenaire pourra lors de ce séminaire d'une semaine démontrer son expérience par des mises en situation (ateliers) et évaluer concrètement l'apport d'une coopération européenne à l'amélioration de la situation des jeunes au niveau local (prise en charge des jeunes par les structures).
Voir 2e partie du Film
HandyArt is a project offering those working with disabled children the possibility to exchange their practices in order to improve the methods and the support given to the latter disadvantaged. During this week of seminar, each group of partner will demonstrate his work experience through situations (workshops) and evaluate how a cooperation among European nations could lead to an improvement of the insertion of young people at local level (in the hands of appropriate institutions). Lieu : Centre de rehabilitation et de réadaptation Orbita 2, région de Moscou, rajon Solnechnogorskaij, Derevnia Tolstiakovo.
HandyArt is a project offering those working with disabled children the possibility to exchange their practices in order to improve the methods and the support given to the latter disadvantaged. During this week of seminar, each group of partner will demonstrate his work experience through situations (workshops) and evaluate how a cooperation among European nations could lead to an improvement of the insertion of young people at local level (in the hands of appropriate institutions). Lieu : Centre de rehabilitation et de réadaptation Orbita 2, région de Moscou, rajon Solnechnogorskaij, Derevnia Tolstiakovo.
Voir 3e partie du Film
La participation des jeunes au séminaire, une composante essentielle
Présentation du projet:
Nous avons choisi d’associer aux experts, pour chaque délégation, des jeunes connaissant le travail, afin qu’ils puissent participer activement aux transferts de compétences dans des ateliers et contribuer à la formation d’autres jeunes par un principe de tutorat. Cette participation sera essentielle également pour les échanges entre les participants, au niveau culturel.
La participation des jeunes au séminaire, une composante essentielle
Présentation du projet:
Nous avons choisi d’associer aux experts, pour chaque délégation, des jeunes connaissant le travail, afin qu’ils puissent participer activement aux transferts de compétences dans des ateliers et contribuer à la formation d’autres jeunes par un principe de tutorat. Cette participation sera essentielle également pour les échanges entre les participants, au niveau culturel.
Une méthode d'insertion validée à l'échelle nationale, pouvant servir à d'autres structures et d'autres jeunes et pouvant être améliorée
Les vecteurs culturels représentent un outil d’intégration des jeunes pertinent : - Ils permettent une évolution positive du regard porté par le milieu ordinaire sur la pathologie mentale et le handicap en général. - Ils favorisent pour les personnes en situation de handicap une image valorisée d’eux-mêmes. - Ils dynamisent le quotidien des équipes dans la prise en charge et l’accompagnement des usagers. - Ils réconfortent les parents. La validité de ces voies nouvelles de l’insertion est maintenant prouvée au fil des années de pratique chez les adolescents, isolés des circuits habituels de socialisation (sport, études, culture). La preuve est faite au niveau local, national. Nous recherchons à développer ces pratiques en les enrichissant par la mise en commun et l’échange de pratiques utilisées par d’autres structures, sur le plan international, au-delà des barrières linguistiques, étendue à d’autres cultures, avec les objectifs suivants : - Renforcer les actions menées auprès des jeunes en situation fragile, - Améliorer et diversifier les méthodes de travail - Favoriser l'échange de savoir-faire et de pratiques entre les partenaires - Identifier une approche commune, des alternatives pour renforcer l'inclusion des jeunes - Favoriser les échanges inter-culturels. - Créer des synergies et une dynamique en réseau.
Le besoin de renforcer nos compétences
Le projet vise à réaliser un transfert de savoir-faire et de compétences entre des partenaires ayant testé et prouvé l’efficacité de leur approche en matière de médiations culturelles avec et pour de jeunes personnes handicapées (handicap mental, social, physique) et des partenaires agissant dans un contexte social et culturel différent et en rapport avec une population de jeunes ayant subi un traumatisme psychique et/ou physique. La réalisation d’actions dans ce nouveau contexte permettra in fine d’améliorer les méthodes de travail de chaque partenaire du projet et ainsi apporter une plus-value à l’objectif d’intégration des jeunes en situation fragile. La volonté d'agir ensemble pour lutter contre les discriminations Le projet vise l'intégration, la lutte contre l'exclusion par l'action culturelle auprès de personnes en situation de handicap (mental, physique, social). Le respect de l'autre et de ses différences (genres, classes sociales, générations, cultures, communautés, confession, etc) sera placé au cœur du projet. Il sera axé sur la mixité des participants (mixité des handicaps, mixité personnes valides et non valides) offrant ainsi une possibilité d'utiliser les contacts entre eux et les liens sociaux générés pour modifier le regard porté sur les personnes handicapées et plus généralement le handicap.
La volonté d'agir ensemble pour lutter contre les discriminations
Le projet vise l'intégration, la lutte contre l'exclusion par l'action culturelle auprès de personnes en situation de handicap (mental, physique, social). Le respect de l'autre et de ses différences (genres, classes sociales, générations, cultures, communautés, confession, etc) sera placé au cœur du projet. Il sera axé sur la mixité des participants (mixité des handicaps, mixité personnes valides et non valides) offrant ainsi une possibilité d'utiliser les contacts entre eux et les liens sociaux générés pour modifier le regard porté sur les personnes handicapées et plus généralement le handicap.
Nos partenaires
* Turbulences (Coordination):
Association coordinatrice du projet, dont l’objet est la médiation culturelle et artistique avec des personnes souffrant d’autisme et troubles apparentés, réalisera ce projet en partenariat avec les structures suivantes:
Contact : Philippe Duban duban@turbulences.net
* Le Centre Kovcheg à Moscou (ONG)
L’ONG est située à Moscou et travaille pour l’intégration de personnes en situation de handicaps sociaux, physiques ou psychiques de tous les âges, en collaboration avec les familles.
Contact : Alexandra Lenartovich : sch1321@mtv-net.ru
* Le centre de réhabilitation (organisation publique régionale d’Ossetie du Nord) de personnes handicapées sur le plan locomoteur ,
travaille à la réhabilitation médico-sociale par différents services d’accompagnement de la vie quotidienne des personnes handicapées et leur famille. Partenaire appuyé par la Délégation du Ministère de l’éducation générale de la République d’Ossétie du Nord : organe du gouvernement de la République d’Ossétie du Nord-Alania, responsable de la direction générale du processus d’éducation de l’éducation dans les écoles secondaires et professionnelles de la République. Seront présents un groupe d’enfants et familles traumatisées par l’attentat terroriste à l’école de Beslan, en septembre 2004.
* Specjalny Osrodek Szkolno-Wychowawczy, Bogumilek, Pologne. (organisation gouvernementale)
Le centre d’éducation spécialisée est un lieu d’accueil public, éducatif, d’une population présentant un handicap mental ou physique, moyen ou lourd, dans une tranche d’âge allant de 7 à 24 ans. Le centre propose un programme scolaire élémentaire et collèges spécialisés, une section de formation professionnelle adaptée et un internat.
contact : Lena Niespielak bogamilek@poczta.fm
Chacune de ces structures développe, outre sa spécificité de prise en charge, un travail original de socialisation et d’intégration par des médiations diverses.
Association coordinatrice du projet, dont l’objet est la médiation culturelle et artistique avec des personnes souffrant d’autisme et troubles apparentés, réalisera ce projet en partenariat avec les structures suivantes:
Contact : Philippe Duban duban@turbulences.net
* Le Centre Kovcheg à Moscou (ONG)
L’ONG est située à Moscou et travaille pour l’intégration de personnes en situation de handicaps sociaux, physiques ou psychiques de tous les âges, en collaboration avec les familles.
Contact : Alexandra Lenartovich : sch1321@mtv-net.ru
* Le centre de réhabilitation (organisation publique régionale d’Ossetie du Nord) de personnes handicapées sur le plan locomoteur ,
travaille à la réhabilitation médico-sociale par différents services d’accompagnement de la vie quotidienne des personnes handicapées et leur famille. Partenaire appuyé par la Délégation du Ministère de l’éducation générale de la République d’Ossétie du Nord : organe du gouvernement de la République d’Ossétie du Nord-Alania, responsable de la direction générale du processus d’éducation de l’éducation dans les écoles secondaires et professionnelles de la République. Seront présents un groupe d’enfants et familles traumatisées par l’attentat terroriste à l’école de Beslan, en septembre 2004.
* Specjalny Osrodek Szkolno-Wychowawczy, Bogumilek, Pologne. (organisation gouvernementale)
Le centre d’éducation spécialisée est un lieu d’accueil public, éducatif, d’une population présentant un handicap mental ou physique, moyen ou lourd, dans une tranche d’âge allant de 7 à 24 ans. Le centre propose un programme scolaire élémentaire et collèges spécialisés, une section de formation professionnelle adaptée et un internat.
contact : Lena Niespielak bogamilek@poczta.fm
Chacune de ces structures développe, outre sa spécificité de prise en charge, un travail original de socialisation et d’intégration par des médiations diverses.
Comment et pourquoi avoir choisi ces partenaires ?
Les structures participant au projet agissent toutes pour l'insertion de jeunes, que ce soit au niveau institutionnel ou au niveau opérationnel et on ainsi chacune développé une méthode de travail.
Chaque structure apporte un savoir-faire propre au type de handicap traité et peut ainsi contribuer fortement à l'identification et la définition d'une méthode commune, enrichie des expériences respectives.
Les partenaires ont d'ores et déjà établi des liens et ont participé à des actions communes :
* Rencontre initiale des partenaires russes de Moscou lors du Festival de l’Autre Théâtre, au Théâtre Guitis, auquel nous participions en 2001avec la présentation d’un spectacle.
* Des échanges ont été réalisés par des déplacements en Russie sur une rencontre d’une semaine depuis 2003, avec la mise en place d’un programme de travail.
* Rencontre avec les partenaires polonais d’un représentant de l’association coordinatrice.
Lors de notre dernière rencontre en juin 2005, la délégation présente de professionnels de Beslan, en observant la nature de l’action culturelle, et l’enthousiasme qu’elle suscite, auprès d’un public varié, parfois en grande souffrance, a souhaité l’organisation de cette rencontre dans le Caucase pour établir une relation directe auprès de jeunes très traumatisés et leur famille, et valider la démarche dans un contexte nouveau, avec un facteur innovant : des jeunes connaissant une situation de grande précarité psychique peuvent agir et influer très positivement sur les traumatismes d’autres jeunes.
Chaque structure apporte un savoir-faire propre au type de handicap traité et peut ainsi contribuer fortement à l'identification et la définition d'une méthode commune, enrichie des expériences respectives.
Les partenaires ont d'ores et déjà établi des liens et ont participé à des actions communes :
* Rencontre initiale des partenaires russes de Moscou lors du Festival de l’Autre Théâtre, au Théâtre Guitis, auquel nous participions en 2001avec la présentation d’un spectacle.
* Des échanges ont été réalisés par des déplacements en Russie sur une rencontre d’une semaine depuis 2003, avec la mise en place d’un programme de travail.
* Rencontre avec les partenaires polonais d’un représentant de l’association coordinatrice.
Lors de notre dernière rencontre en juin 2005, la délégation présente de professionnels de Beslan, en observant la nature de l’action culturelle, et l’enthousiasme qu’elle suscite, auprès d’un public varié, parfois en grande souffrance, a souhaité l’organisation de cette rencontre dans le Caucase pour établir une relation directe auprès de jeunes très traumatisés et leur famille, et valider la démarche dans un contexte nouveau, avec un facteur innovant : des jeunes connaissant une situation de grande précarité psychique peuvent agir et influer très positivement sur les traumatismes d’autres jeunes.
La méthode
Une mise en situation pour concrétiser les pratiques
Afin d’optimiser les démonstrations des différentes pratiques utilisées par les partenaires et ainsi permettre à chacun d’apprendre les méthodes des autres, nous avons décidé d’organiser les journées en ateliers thématiques. Ce format d’échange aura en outre l’avantage de donner un côté « ludique », favorable pour la participation des jeunes.
Des ateliers réalisés en commun pour renforcer les échanges et le transfert de compétence
Les participants travailleront en groupe suivant leurs centres d’intérêts ou par rubrique et assurerons pour chaque atelier une démonstration du travail et un apprentissage. Un système de rotation entre les partenaires permettra de travailler avec chaque partenaire.
Une participation active des jeunes :
Chaque atelier sera réalisé par des intervenants deux ou plusieurs partenaires et fera participer les jeunes qui les accompagnent. Ainsi l’encadrant pourra faire une démonstration de sa pratique avec les jeunes qu’il anime régulièrement. Chaque jeune assurant la démonstration prendra en charge un jeune « apprenant » afin de faciliter l’apprentissage. C’est ainsi un système de tutorat entre jeune qui sera instauré. La communication entre eux sera possible car ils peuvent échanger par d’autres vecteurs que la parole : imitation gestuelle ou orale, dynamique ludique, en amont d’une exploration plus personnelle des techniques.
Un temps d’échange pour capitaliser les pratiques
En fin de journée, les intervenants de chaque partenaire se réuniront pour discuter et échanger sur les ateliers réalisés. Pourront ainsi être relevé les forces, faiblesses, limites ou évolutions possibles de chaque méthode. Ces échanges seront rapportés sur un cahier de bord.
Philippe Duban
Voir galerie photos ici:
Afin d’optimiser les démonstrations des différentes pratiques utilisées par les partenaires et ainsi permettre à chacun d’apprendre les méthodes des autres, nous avons décidé d’organiser les journées en ateliers thématiques. Ce format d’échange aura en outre l’avantage de donner un côté « ludique », favorable pour la participation des jeunes.
Des ateliers réalisés en commun pour renforcer les échanges et le transfert de compétence
Les participants travailleront en groupe suivant leurs centres d’intérêts ou par rubrique et assurerons pour chaque atelier une démonstration du travail et un apprentissage. Un système de rotation entre les partenaires permettra de travailler avec chaque partenaire.
Une participation active des jeunes :
Chaque atelier sera réalisé par des intervenants deux ou plusieurs partenaires et fera participer les jeunes qui les accompagnent. Ainsi l’encadrant pourra faire une démonstration de sa pratique avec les jeunes qu’il anime régulièrement. Chaque jeune assurant la démonstration prendra en charge un jeune « apprenant » afin de faciliter l’apprentissage. C’est ainsi un système de tutorat entre jeune qui sera instauré. La communication entre eux sera possible car ils peuvent échanger par d’autres vecteurs que la parole : imitation gestuelle ou orale, dynamique ludique, en amont d’une exploration plus personnelle des techniques.
Un temps d’échange pour capitaliser les pratiques
En fin de journée, les intervenants de chaque partenaire se réuniront pour discuter et échanger sur les ateliers réalisés. Pourront ainsi être relevé les forces, faiblesses, limites ou évolutions possibles de chaque méthode. Ces échanges seront rapportés sur un cahier de bord.
Philippe Duban
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